Erfahrungsberichte
Berichte deutscher Teilnehmer
Masterabsolventin Hanna Schronen zum "Interkultureller Mehrwert des Studiengangs"
Ein binationales Studium ist eine einmalige Erfahrung, die ich jedem ans Herzen lege. Es hat sich mir nicht allein die Möglichkeit eröffnet, während meines Auslandsaufenthaltes das Leben und Arbeiten – Wissenschaft versus Unternehmen – in Frankreich kennen zu lernen, sondern auch die Türen für meine weitere Zukunft aufzumachen, dank des Erreichens des französischen Abschluss, ermöglicht durch die DFH. Ich habe zahlreiche Kontakte, insbesondere im deutsch-französischen Kontext, geknüpft und viele interessante Menschen kennen gelernt, mit denen ich teilweise noch heute in Verbindung stehe.
Durch das Leben in Frankreich habe ich nicht allein die französische Kultur kennen gelernt, sondern auch begonnen, die deutsche als meine eigene Kultur aus einem anderen Blickwinkel zu betrachten, meinen Horizont zu erweitern. Ich habe gelernt, die deutsche „rigueur“ zu schätzen und sie mit dem französischen „savoir-vivre“ zu verknüpfen.
Anpassungsfähigkeit und Flexibilität gehören zu den wichtigsten Kompetenzen, die ich während meiner Zeit in Frankreich entwickelt habe.
Fazit: Es ist die zusätzliche berufliche Qualifikation verbunden mit der persönlichen
Weiterentwicklung, die ein binationales Studium ausmachen.
Hier der ausführliche Bericht "Erste Masterabsolventin-Eine Erfolgsgeschichte" aus UNISPECTRUM 04/15
Erfahrungsbericht von Simon Geis:
"Nachdem ich mich entschlossen hatte, am Integrierten Studiengang der TU Kaiserslautern und der ENSGSI Nancy teilzunehmen, ging alles sehr schnell. Nach der Aufnahme in das Programm stand in Kaiserslautern ein straffes Einjahresprogramm auf dem Plan. So musste innerhalb nur eines Jahres ein großer Teil des üblichen Hauptstudiums für WIs absolviert werden.
Noch während des Prüfungszeitraumes des 6. Semesters ging es dann an die ENSGSI nach Nancy. Die Auslandsphase wurde gleich mit einem Integrationswochenende eingeleitet, an das ich mich auch heute noch gerne erinnere. Diese Veranstaltung steht für mich sinnbildlich für die gute Eingliederung in unsere „Promo“ (Klasse). So fällt die Integration im familiären Rahmen der ENSGSI deutlich leichter als in einer großen und anonymen Hochschule.
Durch Klassen von nur ca. 60-80 Studenten existieren zudem eine sehr gute Betreuungssituation, ein guter Zusammenhalt unter den Studenten und eine Art „Corporate Identity“. All dies wird noch durch Gruppenarbeit gestärkt. Diese ist, anders als in Deutschland, fester Bestandteil fast jeder Vorlesung. So sammelt man durch zahlreiche Präsentationen und die immer neu zusammengestellten Teams auch wertvolle Erfahrungen in den viel zitierten Softskills. Die Ausbildung dieser sozialen Kompetenzen ist an der ENSGSI auch auf theoretischer Ebene in die Lehre integriert.
Schließlich gefiel mir an meinem Studium in Frankreich, dass, unter anderem durch Industrieprojekte, auch praktische Aspekte in das Studium integriert waren. Dadurch lernte ich nach einer theoretisch orientierten Ausbildung an der TU Kaiserslautern, mein Wissen in der Praxis anzuwenden.
Abschließend bleibt zu sagen, dass ich durch den doppelten Abschluss von beiden Hochschulsystemen profitiert habe, meine sprachlichen und fachlichen Fähigkeiten ausbauen und eine wertvolle Zusatzqualifikation erwerben konnte. Nancy bot darüber hinaus einen tollen Rahmen für die Freizeitgestaltung, die für ein Studium meines Erachtens auch sehr wichtig ist."
Simon Geis
Berichte französischer Teilnehmer
"Le double diplôme en Allemagne est vraiment une expérience très intéressante. En effet, ce cursus me permet de découvrir un nouveau pays et surtout de changer mes habitudes tout en restant en proximité de la France. D’un point de vue des études, les cours proposés à Kaiserslautern sont pour la plupart très différents de ceux du GSI. En effet nous avons des cours d’économie et de droit ce qui permet d’avoir une autre vision sur l’entreprise. Le fait de devoir travailler dans des domaines que je connaissais peu et en plus en allemand a été difficile au départ mais c’est aussi une bonne chose d’apprendre à s’adapter. Ce séjour à l’étranger me permet aussi de connaître une autre façon de travailler et de me confronter à une nouvelle organisation. En effet, le nombre d’heures de cours n’est pas très élevé mais la masse de travail à fournir seul à la maison est beaucoup plus importante (il n’y a pas de TD et il faut se débrouiller soi même pour s’entraîner avec des sujets d’exam). Il faut donc s’y prendre bien à l’avance !
Les progrès en langue sont beaucoup plus rapides en étant dans le pays. Le fait de savoir parler allemand et d’y avoir étudié est un grand plus sur le marché du travail. En effet beaucoup de gens parlent plus ou moins l’anglais. En France, en revanche, les gens sachant se débrouiller en allemand sont assez rares et donc très demandés.
Grâce à ce séjour à l’étranger j’ai également pu rencontrer de nombreux autres étudiants. L’ambiance de la fac est différente que celle que nous connaissons à l’école. Au début l’intégration est un peu difficile, la fac étant plus impersonnelle : il faut alors chercher un maximum de contacts à travers d’autres activités comme le sport (il y en a beaucoup qui sont proposés) ou les soirées à la fac. Dans la résidence universitaire nous rencontrons aussi beaucoup d’étrangers qui viennent d’un peu partout pour faire leurs études en Allemagne.
Même si tout n’est pas toujours facile c’est donc une expérience qui en vaut vraiment la peine !"
Thomas Schick
"Un des avantages du double diplôme est de proposer une immersion complète d’une année en Allemagne (contrairement au cursus Erasmus qui ne dure qu’un semestre) à 250 Km de Nancy. Le double diplôme est constitué de 16 matières dont l’anglais et deux matières spécifiques au double diplôme qui sont en français. Les matières ont pour thème principal l’économie mais aussi la politique et le droit. C’est donc une opportunité d’apprendre de nouvelles disciplines en allemand tout en restant dans le cadre des études d’ingénieur et sans perdre de temps sur le cursus classique d’un ingénieur. Pour valider le double diplôme, vous devez obtenir au minimum la moyenne pour chacune des 16 matières. Vous avez 3 essais pour chacune des matières. La masse de travail est certes importante et souvent laborieuse à cause d’un apprentissage par cœur obligé pour chacune des matières, mais le jeu en vaut la chandelle. En effet, partir une année complète à l’étranger est la preuve d’une capacité de mobilité et d’investissement de la part de l’étudiant et cela plaît aux entreprises. Le double diplôme peut être une opportunité d’autant plus intéressante pour les étudiants issus de prépa intégrée afin de « casser » 5 ans d’enseignement sous une même direction et apporter une ouverture d’esprit sur « comment fonctionner autrement ». En effet, l’université de KL correspond à notre faculté française, l’ambiance et l’autonomie y est donc totalement différente. Il y est plus difficile de s’intégrer pendant les cours magistraux à cause du nombre d’étudiants et l’université ne propose pas de travaux dirigés, c’est donc à l’étudiant français de s’ouvrir aux autres et de s’intégrer par lui-même.
La ville de Kaiserslautern étant bien plus petite que Nancy et aussi bien moins dynamique avec seulement 8500 étudiants pour 45000 à Nancy, les loyers, la nourriture ou tout simplement le coût de la vie est inférieur. On peut par exemple manger dans le restaurant chinois du campus universitaire pour 3,20 Euros."
Edouard Billaud
"Je suis arrivé à Kaiserslautern le 4 août 2003, je me souviens encore bien de cette date car j’étais vraiment heureux de découvrir une nouvelle ville et un nouveau pays. J ai effectué mon stage ouvrier dans une entreprise de la ville et me suis vite plu.
Kaiserlautern est une ville d’environ 120 000 habitants située à 200 Km de Nancy surtout connue pour son équipe de foot, championne d Allemagne au milieu des années 90 mais qui depuis 2 ou 3 ans connaît des difficultés. Espérons qu’elle reste parmi l’élite l’an prochain pour procurer du plaisir au 40 000 spectateurs présents à chaque match.
Concernant les études, je trouve très intéressant le fait de pouvoir étudier plus d’économie avec des matières comme économie politique ou relations économiques internationales. Nous avons, en tout, une dizaine de matières en allemand, certaines plus intéressantes que d’autres. La masse de travail à fournir est difficile à comparer au GSI puisque nous n’avons qu’une dizaine d’heures de cours par semaine.
Les révisions pour les partiels commencent assez tôt et je révise pour ma part 2h le matin et 4 l’après midi. Je pense donc que le travail à fournir n’est pas plus important GSI, la grosse différence se situe dans la manière. Quand à Nancy on va en TD pour mieux comprendre le cours et commencer à apprendre, à Kaiserlautern on révise de manière autonome. Cette année nous avons tout de même eu la chance de rencontrer des allemands avec qui nous avons pu réviser, ce qui est un vrai plus je pense.
Coté détente, j’ai fait beaucoup de rencontres tout d’abord pendant les cours d’allemand et ensuite à la fac, même si il n’existe pas d ambiance de classe comparable au GSI. Il y a à la fac beaucoup de possibilités de faire du sport gratuitement ou presque (15 euros pour un semestre de tennis sur terre battue par exemple) dans des structures comparables à celle du SIUAP, et c’est un très bon moyen de rencontrer des personnes que l’on retrouve souvent dans les fêtes organisées à l’université les jeudis soirs. Pendant les périodes de cours, les possibilités de sorties sont nombreuses, tant à la fac qu’en ville, d’autant plus qu’avec la carte étudiant, les transports sont gratuits. En règle générale, la vie n’est pas plus chère qu’en France. Les loyers et la bière sont à des prix plus que raisonnables, les prix de la nourriture sont les mêmes qu en France. Seule l’université (inscription, achat de polycopiés) est plus chère.
Pour résumer je dirais que :
- Découvrir une nouvelle ville, de nouvelles personnes, pendant un an fait vraiment du bien et nous ouvre à de nouvelles perspectives
- La masse de travail n’est pas très différente de la prépa au GSI mais moins bien reparties tout au long de l’année (de novembre à février et avril à juillet pour les cours plus un mois de partiels en mars et début août)
- Les difficultés liées à la langue sont toujours présentes mais pas handicapantes.
- L’ambiance dans la résidence est chaleureuse et la vie en colocation une superbe expérience."
Mathias Gérardot
Bericht "mission industrielle"/ Abschlussarbeit
Masterabsolventin Hanna Schronen über ihre "mission industrielle" in Paris
Im Rahmen eines integrierten deutsch-französischen Studienganges der TU Kaiserslautern, an dem ich seit meinem dritten Semester Wirtschaftsingenieurwesen teilnehme, habe ich ein sechsmonatiges Praktikum in Frankreich absolviert. Während dieser sogenannten „mission industrielle“ habe ich die praxisorientierte französische Abschlussarbeit geschrieben.
Vorbereitung: Während meines Aufenthaltes an einer französischen Ingenieursschule während des Studiums habe ich einiges über das Bewerben in Frankreich gelernt, was mir beim Erstellen meiner Bewerbungsunterlagen zu Gute gekommen ist. Vor allem beim Lebenslauf unterscheidet sich das französische Modell von dem in Deutschland üblichen.
Auf der Suche nach einem Praktikum im Bereich internationalem Projektmanagement habe ich mich zunächst auf große und für mich bekannte Unternehmen in Frankreich fixiert. Stellenanzeigen fand ich sowohl auf den unternehmensinternen Homepages als auch über Seiten wie beispielsweise stage.fr und apec.fr. Aus eigener Erfahrung und auch aus Gesprächen mit französischen Bekannten kann ich sagen, dass man in Frankreich mit vielen Bewerbungen rechnen muss. Ich selbst habe circa 40 Bewerbungen abgeschickt, die zu 4 Telefongesprächen und 2 persönlichen Gesprächen geführt haben. Schließlich hatte ich 2 Zusagen erhalten. Auch das Klischee, dass sich in Frankreich vieles in Paris und nur wenig in der Provinz abspielt, bestätigte sich bei meiner Suche. Schätzungsweise über dreiviertel der Unternehmen, bei denen ich mich beworben habe, waren in oder um Paris angesiedelt.
Zur Vorbereitung zählte ebenso das Abschließen diverser Versicherungen: bezüglich der Krankenversicherung hatte ich vor Antritt des Praktikums eine Zusatzauslandsversicherung in Deutschland gemacht (innerhalb der EU zählt die europäische Versichertenkarte nur bei Auslandsaufenthalten von in der Regel maximal 3 Monaten). Als EU Staatsbürger hätte ich mich auch bei der „securité sociale“ (gesetzliche französische Sozialversicherung) einschreiben können, was mit dem Ausfüllen von vielen Formularen verbunden gewesen wäre, mich aber günstiger gekommen wäre, da die Kosten in meinem Fall vom Unternehmen übernommen werden. Ich rate also, dies vorher in Erfahrung zu bringen. Meine Haftpflichtversicherung aus Deutschland war auch weiterhin in Frankreich gültig, eine Wohnraumversicherung war in meiner WG schon vorhanden.
Als Student kann in Frankreich jedermann Wohnungsgeld, das sogenannte „APL“ (Aide personnalisée au logement), bei der „CAF“ (Caisse d'Allocations Familiales) beantragen. Diese finanzielle Unterstützung wird nach Wohnsituation (Alleine, WG, Lebenspartner) und Höhe der Miete bestimmt. Sie kann jedoch nur ausgezahlt werden, wenn man ein französisches Bankkonto besitzt. Bei Eröffnung eines Kontos benötigt man neben persönlichen Unterlagen wie dem Personalausweis auch oftmals den Nachweis einer Unterkunft (Mietvertrag, Stromrechnung u.a.), da eine Meldebescheinigung wie wir sie in Deutschland kennen nicht existiert - d.h. man muss auch auf keinem Amt einen Wohnsitz anmelden.
Unterkunft: Durch mein deutsch-französisches Netzwerk, das ich mir im Laufe meines Studiums aufgebaut habe, habe ich über eine Bekannte via facebook eine Anzeige für eine WG gefunden. Nach Besichtigung der Wohnung und Kennenlernen der WG-Bewohner (2 Deutsche, 2 Franzosen) hatte ich meine Unterkunft für die 6 Monate gefunden. Trotz Nähe zur Metro brauchte ich für einen Weg zur Arbeit 1 Stunde, was in Paris aber völlig normal ist, ebenso wie - im Vergleich zu Deutschland - sehr hohe Mieten bei gleichzeitig niedrigerem Standard. Ich hatte mir noch eine weitere WG mit Deutschen und Franzosen angeschaut, die ich auf der deutsche Internetseite wg-gesucht.de gefunden hatte. Außerdem gibt es zahlreiche Facebook Gruppen wie „coloc’Paris“, „colocation à Paris“ oder „Plan appart à Paris“ und ähnliche, die bei der Wohnungssuche weiterhelfen (diese gibt es sicherlich auch für andere Städte). Wichtig zu wissen ist, dass französische Vermieter zur Absicherung sehr viele Unterlagen verlangen können, zum Beispiel: Kopie vom Personalausweis, Studienbescheinigung, Bestätigung eines „Garanten“ (Person, die sich verpflichtet einzuspringen, wenn man nicht mehr zahlt), Nachweise über dessen Einkünfte, frühere Mietquittungen u.a.
Praktikum: Nach den 2 Zusagen habe ich mich für ein Praktikum im französischen Unternehmen Elis – europaweit führendes Unternehmen im Textilleasing - entschieden, wo ich als „stagiaire ingénieur méthodes“ an verschiedenen Projekten der kontinuierlicher Verbesserung in den industriellem Wäscherein von Elis gearbeitet habe. Mein Arbeitsplatz war am Hauptsitz von Elis in Puteaux, wo ich in einem jungen Team von 12 Ingenieuren herzlich aufgenommen wurde. Neben einem Spanier und einem Kolumbianer war ich nicht der einzige „Nicht Franzose“ und trotzdem wurde sich ausschließlich auf Französisch unterhalten, da die englische Sprache bei Elis nicht etabliert ist (da keine Aktivität in englischsprachigen Ländern). Die Stimmung im Team war sehr gut, was viel auf die Geselligkeit der Franzosen zurückzuführen ist (gemeinsame Kaffeepausen, Mittagessen und ab und an sportliche Aktivitäten außerhalb der Arbeit).
Der gute Umgang mit meinen Kollegen und das Vertrauen und die Eigenverantwortung die mir von meiner Betreuerin aufgetragen wurden, trugen mit dazu bei, dass mir meine Arbeit viel Spaß machte. Ich war während den 6 Monaten in ständigem Kontakt (vor allem via E-Mail, Telefon oder auf Dienstreise) mit den verschiedenen Standorten von Elis in Europa. Meine Aufgabe war es einerseits die Unternehmensstandards einzuführen und andererseits gemeinsam mit den Produktionsleitern vor Ort Situationen zu analysieren, Ideen zu sammeln und schließlich Projekte zur Verbesserung der Prozesse zu führen. Dabei habe ich in den ersten Wochen mit den deutschen und anschließend vorwiegend mit den französischen Standorten zusammengearbeitet.
Alltag und Freizeit: Dank meiner Auslandssemester in Nancy kannte ich einige Kommilitonen, die es ebenfalls nach Paris gezogen hat - für Praktika oder die Arbeit. In einer so großen Stadt wie Paris findet man alles, was das Herz begehrt. Sport wie Zumba und Schwimmen aber auch Jogging in einem der schönen Parks von Paris gehörten zu meinen Freizeitaktivitäten, ebenso wie das Ausgehen in eine der zahlreichen Bars oder den beliebten „after works“. An Kulturprogramm und Sehenswürdigkeiten fehlt es in Paris sicherlich auch nicht. Dank Tipps von Arbeitskollegen und Bekannten, die schon länger in Paris wohnen habe ich auch Orte entdeckt, wo Touristen eher nicht hinkommen.
Fazit: Die Zeit in Paris war für mich eine sehr gute Erfahrung, sowohl auf beruflicher Ebene als auch für meine persönliche Entwicklung. Gerade deswegen würde ich einen Auslandsaufenthalt jedem ans Herzen legen, der sich für andere Kulturen und andere Menschen interessiert. Auch wenn ich ein großer Fan der deutschen „rigueur“ bin, hat mich der französische Charme für sich gewonnen. Die Offenheit und Warmherzigkeit, das „savoir vivre“ der Franzosen ist etwas, das mir in meinem Leben sehr wichtig ist und das ich auch in Zukunft beibehalten will.
Hanna Schronen im Januar 2014